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La
présence française en Ontario :
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LA VIE EN SOCIÉTÉ : STRUCTURES ET CHANGEMENTS SOCIAUX L'histoire de la collectivité franco-ontarienne est en partie façonnée par les obstacles qu'elle a dû surmonter depuis l'arrivée des premiers colons français et canadiens-français venus s'installer sur le territoire ontarien. Les combats, les succès et les échecs font partie de cette histoire. Pour les Franco-Ontariens, dans bien des cas, c'est l'Église catholique romaine, par l'entremise des paroisses, qui joue le rôle de gardienne de la langue, de la foi et des droits, et d'instigatrice de projets au cours du XIXe et d'une bonne partie du XXe siècle. C'est également autour de la paroisse que gravite la vie communautaire. Avec le temps, des associations et des regroupements, en partie parrainés par le clergé, viennent prendre la relève dans certaines sphères d'activités, et défendre les droits des Franco-Ontariens. Parmi ces associations on trouve l'Association canadienne-française d'éducation d'Ontario (ACFEO) (1910), plus tard l'Association canadienne-française de l'Ontario (ACFO), très active à la suite de la crise du « Règlement 17 » (1912-1927), et l'Ordre de Jacques Cartier (1926), qui travaille dans l'ombre. Au fur et à mesure que la société franco-ontarienne se développe, d'autres organismes voient le jour, telles les associations féminines et pour la jeunesse. Sur le plan économique, c'est le mouvement coopératif, dont font partie l'Union Saint-Joseph (1863), les caisses populaires et les différentes coopératives, qui favorise le développement de la communauté franco-ontarienne.
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